Dominer les crises - Retour d'expériences

Pour un week-end de crises, j'ai pas eu vraiment l'impression de gérer la chose. Les céréales prises chez mon frère m'ont donnée envie de criser sur les mêmes mais version Nuts comme je les préfère. Du coup, j'ai dû attendre lundi que le magasin ouvre pour en acheter. Je me suis retenue de les entamer dans la voiture. Crise retardée ? Je ne sais pas trop peut-être...
Attente du lendemain que le magasin ouvre = je n'ai pas criser sur autre chose.
Manger à l'appart et pas dans la voiture = délai respecté.

Par contre je n'ai pas su gérer l'abondance de nourriture du mariage, ces petites choses trop bonnes, je sais pas comment j'aurai pu faire l'impasse. Je traduit celà par de la peur de ne plus jamais avoir l'occasion d'en manger = peur de manquer. Oui, j'ai gouté de tout en petites quantités (sauf les bretzels, là j'ai pas pu me raisonner x 4 ). Bon, j'ai repris 2 fois du dessert, et je n'ai pas privilégier les légumes à l'apéro. Je trouve cela dur, un buffet d'apéritifs !!! Y'a un truc pour résister ? Pourquoi l'abondance nous donne-t-elle tellement envie ???

Il faudrait que je m'imprime une liste de chose à pouvoir faire en toutes circonstances pour arriver à ne pas céder à la tentation et raisonner à la faim plus qu'à l'envie.
Etre grosse aujourd'hui me fait mal, la peau me tire. Je veux maigrir. Je ne suis pas comme ça. Je ne veut pas rester comme ça. Je rêve de grandes vacances où je m'acharne et réussi à perdre tout mon surplus de poids. Mais non, la vie continue, je doit retourner bosser. Je n'ai droit à aucune trêve...(Soupir...)
Alors, je dois me battre, me battre contre cette maladie, me battre contre tous ces mauvais réflexes, me battre pour atteindre mon objectif, je ne veux pas une année de plus à subir mon poids ! Plus j'attends et plus j'accumulerai par le biais des crises et plus j'aurai à perdre. Donc, c'est maintenant. Je ne reviendrai jamais en arrière, mon avenir est devant moi et ça ne dépend que de moi de le construire comme je le souhaite !